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Le CCNOP L’Asnav veut sensibiliser
se féminise la jeune génération avec
une série de vidéos
nouvelles membres
font leur entrée dans En mars dernier, l’Asnav a lancé une campagne de communication
le Collège du Conseil sur les réseaux sociaux visant à sensibiliser le jeune public concernant
national des opticiens les enjeux de la santé visuelle. L’association utilise ainsi les comptes
2 e France, Lamya Savet, Facebook, Twitter et Instagram de Purebreak, qui regroupe une large
d
orthoptiste et formatrice et Amandine communauté de 15-34 ans… Avec un impact puissant, puisque la page
Millereux, opticienne-optométriste, Facebook compte à elle seule plus d’un million d’abonnés. Outre des
gérante d’un magasin à Cannes (06), posts et des stories, l’Asnav s’appuie sur une série de 4 vidéos, au ton
membre de l’Association française léger. Durant ces séquences, on retrouve le comédien Baptiste Lorber,
des experts en lentilles de contact posant une question simple sur l’utilisation des écrans. “Saviez-vous
et enseignante à la faculté de Nîmes. que 20 secondes de pause toutes les 20 minutes peuvent reposer vos
Une évolution du collège vers la parité yeux ?”, demande-t-il. Chose originale pour une vidéo de cet acabit, une
homme-femme qui garantit sa repré- vingtaine de secondes se déroulent alors dans le noir, avec pour seule
sentativité au sein de la profession. animation la voix du jeune homme, qui finit par rallumer la lumière.
Si 57 % des opticiens sont actuelle- “Ça fait du bien non ?”, conclut-il. Les trois autres épisodes de ces “Tutos
ment des opticiennes, ce pourcentage de Bapt” ont été diffusés les 28 avril, 30 avril et le 4 mai.
s’élève à 67 % chez les professionnels
de moins de 35 ans.
Optique-lunetterie de détail :
les partenaires sociaux lancent
une enquête sur les salaires
Amandine Millereux opticienne-optométriste, uite à la première enquête en 2020, les organisations syndicales et
gérante d’un magasin à Cannes (06) patronales (Rof, Fnof, CFTC, CFDT, UNSA, CFE-CGC, CGT) ont décidé
de reconduire le cabinet C&B Alternatives pour mener cette étude
auprès des entreprises de la branche. Avec l’objectif de disposer d’in-
o
f
r
S mations fiables sur les rémunérations des salariés de la branche,
qui est un préalable à la négociation annuelle obligatoire de branche sur les reve-
nus minima conventionnels. Cette enquête repose sur un questionnaire défini par
les partenaires sociaux en Commission Paritaire Permanente de Négociation et
d’Interprétation et chaque chef d’entreprise est invité à y répondre. Les informa-
tions communiquées par les entreprises seront traitées avec confidentialité par le
consultant choisi par la branche. Seules les entreprises ayant participé à l’enquête
bénéficieront de la restitution détaillée, tandis que les partenaires sociaux rece-
Lamya Savet, orthoptiste et formatrice
vront une synthèse nationale, basée sur des données agrégées et anonymisées.
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